Exposition : HAI NGUYEN / VALKO / CHRISTELLE MEHAY // Espace Arts 66 Céret
Exposition : HAI NGUYEN / VALKO / CHRISTELLE MEHAY // Espace Arts 66 Céret
EXPOSITION : HAI NGUYEN / VALKO / CHRISTELLE MEHAY
Du 10 Aout au 09 Septembre 2021 /
Du mardi au samedi, de 10h à 12h30 et de 14h à 18h
ESPACE ARTS 66
41 rue Saint Ferréol à CERET
Entrée libre
Du mardi au samedi, de 10h à 12h30 et de 14h à 18h
ESPACE ARTS 66
41 rue Saint Ferréol à CERET
Entrée libre
HAI NGUYEN // DESIGNER
Pour Hai, l’intérêt du design est de diffuser de l’art sur les objets du quotidien.
Il choisit le luminaire comme support, se servant de l’utilité de l’objet qui éclaire pour exprimer sa créativité et transcender l’ambiance de l’espace où il se trouve. Utilisant au maximum des matériaux recyclés, il aime à transformer des rebuts en objets précieux.
Métamorphose qui se fait souvent au prix de longues heures de travail minutieux.
Bouteilles en plastique, feuilles de placage en bois, balles de ping-pong, instruments de musique… La diversité des matériaux utilisés pour ses créations produit des modèles et des styles très variés, de la lampe de chevet au lustre monumental.
Il choisit le luminaire comme support, se servant de l’utilité de l’objet qui éclaire pour exprimer sa créativité et transcender l’ambiance de l’espace où il se trouve. Utilisant au maximum des matériaux recyclés, il aime à transformer des rebuts en objets précieux.
Métamorphose qui se fait souvent au prix de longues heures de travail minutieux.
Bouteilles en plastique, feuilles de placage en bois, balles de ping-pong, instruments de musique… La diversité des matériaux utilisés pour ses créations produit des modèles et des styles très variés, de la lampe de chevet au lustre monumental.
VALKO // PLASTICIENNE
Artiste plasticienne à la recherche d’un art insolite. Peintre originale œuvrant pour l’art du bien et du beau. Son parcours initiatique est mêlé de symbolisme et de beauté, son chemin de vie est dédié à l’art et à ses exigences, sa passion est le mélange des couleurs et des formes.
L’observation intense de la nature et des éléments, la beauté et l’intelligence du monde se révèleront en une exigence, une éthique, une voie pour elle, avec de plus, dans sa besace une enfance bercée, nourrie et envoûtée par la puissance de la terre d’Afrique, l’art s’est donc naturellement inscrit comme un révélateur de communication.
L’observation intense de la nature et des éléments, la beauté et l’intelligence du monde se révèleront en une exigence, une éthique, une voie pour elle, avec de plus, dans sa besace une enfance bercée, nourrie et envoûtée par la puissance de la terre d’Afrique, l’art s’est donc naturellement inscrit comme un révélateur de communication.
CHRISTELLE MEHAY / PEINTRE« Arrivée à Céret en 2015, j’ai découvert les joies de la montagne, c’est au cours de mes randonnées que j’ai commencé à photographier les fleurs que je trouvais sur mon chemin, c’était à l’aube que j’obtenais mes meilleurs clichés.
Je photographie les fleurs des jardins de Céret, de celles dont le bouton a percé un grillage, à celles au cœur d’un jardin dont le propriétaire m’en aura accordé l’accès, ou les fleurs d’un bouquet du marché que je pose sur le coin de ma commode, à contre-jour.
J’attends le moment propice pour prendre mes photos, celui où les rayons du soleil viennent s’y poser, légèrement atténués d’un voilage ajouré.
Mes fleurs ainsi baignées d’ombre et de lumière sont prêtes à être peintes, du bout de mes doigts, car en effet, je n’ai jamais su peindre avec un pinceau. » Christelle Mehay
Je photographie les fleurs des jardins de Céret, de celles dont le bouton a percé un grillage, à celles au cœur d’un jardin dont le propriétaire m’en aura accordé l’accès, ou les fleurs d’un bouquet du marché que je pose sur le coin de ma commode, à contre-jour.
J’attends le moment propice pour prendre mes photos, celui où les rayons du soleil viennent s’y poser, légèrement atténués d’un voilage ajouré.
Mes fleurs ainsi baignées d’ombre et de lumière sont prêtes à être peintes, du bout de mes doigts, car en effet, je n’ai jamais su peindre avec un pinceau. » Christelle Mehay